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Mais comment peut-on être certain que c’est logement la ‘ célébrité ‘ qui est à l’origine d’une détérioration de la santé mentale d’une personne célèbre ? Est-ce qu’une « star » n’aurait pas pu développer un tourment état psychologique même si elle était restée une parfaite originale ? Autrement dit, quelques personnes célèbres n’auraient-elle pas des « prédispositions au maladie » ? Il semble que cela soit souvent le cas, à en penser des preuves d’acteurs comme Catherine Zeta-Jones, Jim Carrey ou ben 10 Stiller qui ont fait dernièrement leur coming désuet en présageant qu’ils étaient atteints d’un tourmente bipolaire ( ce sont concrètement des facteurs génétiques qui sont à l’origine de ce trouble ).
Notre comportement est souvent influencé par des protagonistes de bar, athlétes à la pointe, musiciens ou hommes politiques… Ce n’a rien à nouveau et est illimité par les multitude, continents ou différentes périodes de l’histoire. Pourquoi ? Il il n’y en a pas encore de réponse bien implantée aujourd’hui même si ce “culte de la célébrité” déclenche des comportements apparemment irrationnels. Par exemple, il est difficile de comprendre pourquoi quelqu’un est prêt à dépenser des sommes astronomiques pour choisir des accesoires aussi communs qu’une protestant, un portefeuille ou même un peigne, si ces produits ont été à une personne célèbre. Presque $1, 000, 000 pour les groupe de golf de John f. Kennedy ou $400, 000 pour son fauteuil à balance ? Un temps de de la chanteuse Britney Spears vendu sur Ebay pour $14, 000 !
Amanda Seyfried ( Mamma Mia !, Time Out ), en psychothérapie pour par intermittences d’angoisse après sa irrésistible notoriété. Kirsten Dunst sélectionnée par Lars von Trier pour incarner l’héroïne dépressive de Melancholia, « parce que ce domaine lui était savoir ». Carrie Fisher ( Star Wars ), bipolaire manifeste, garantissant la pub des électrochocs dans Shockaholic, sa dernière biographie… Depuis peu, la liste des célébrités qui avouent leurs bobos psys se remplit au minimum aussi rapidement que la chapiteau des psychologues qui les parlent. « Nous tous un coup de déprime, à un moment ou un autre. Mais nous avons généralement indignité d’en parler. Je ne jugerai une personne qui ce genre de passage à vide », a dernièrement déclaré Kirsten Dunst au webzine Flare, 3 ans après son moment à la clinique Cirque Lodge où elle avait été crue pour dépression. Lindsay Lohan et Eva Mendes l’y avaient précédée.
N’oublions pas que la popularité, à l’inverse à la popularité, est née de la rencontre de la démocratie et de la d’utilisation. La renomée n’est alors plus l’apanage des rois, des aventuriers ou des imputé de guerre, présentement tout le monde peut son quart heure de réputation comme le prophétisait Andy Warhol dans les années 70. Les imminents médias comme web et les jeux télévisés dits de ‘ télé-réalité ‘ ont rendu cette idée fortement précieuse. Le métaphysicien Roger Caillois disait d’ailleurs déjà en 1958 quel prix le événement est présent au cours de la ajour des célébrités et quel prix cette ‘ occase étonnante ‘ était bénéfique au concept même de la célébrité[1]. En effet tout le monde en regardant sa star chou peut rêver et se prétendre : ‘ Un jour ce sera moi sur cet écran. ‘ Dans une entreprise qui marche au mérite, voilà un virtuose qui peut toucher semble-t-il le premier survenu ; une réussite impressionnant qui peut revenir au plus ténébreux ou au plus pauvre. En cela, la célébrité bafoue la place établie, infirme la fortune que sa condition fait peser sur tout le monde. La démocratisation et la notion de concrétisation de soi sont appartement de la partie.
Il y a quelques jours, Mallaury Nataf faisait son renouveau dans les médias, bien malgré elle. Autrefois de la série Le Miel et les abeilles puis de Sous le soleil, elle est soudain du clair-obscur à l’ombre. Elle en a disposé pour dresser une famille. Tout aurait pu se avoir l’air le mieux si le dommage psychique qui germait déjà en elle n’avait pas bénéficié d’un autre puissant aller-retour de la renommée à l’anonymat pour lui emporter sa vie. Sept ans après sa participation à la Ferme des personnes célèbres, elle se rapprochait des commentateurs pour faire comprendre qu’elle était à la rue. Elle avait remontée la ados, mais est retournée à la case départ. Cette fois-ci, c’est plus clair. Non seulement elle est s.d.f., mais il se raconte qu’elle élan dans les rues parisiennes en balbutiant des prières dédiées à donner le mauvais oeil. Et pour auréoler tout cela, compte-tenu de son état de santé, on lui a retiré la garde de ses plus jeunes.
Explication la plus évidente : nous autres êtres humains aimons vivre par procuration; nous identifier aux spécimens plus riches, plus célèbres, plus beaux et plus utiles que le reste de notre type. Qu’elle soit formulée en termes de volet, d’admiration ou de persiflage, la penchant pour les vedettes est tout d’abord une empathies : nous tentons d’imaginer ce que ce serait de vivre l’existence plus simple et plus sympatique. Ainsi la vie de sentiment de Charlie Sheen correspond-elle aux fantasmes de loin d’entre nous, qui cherchent à s’affranchir des standards bourgeoises. Partir en weekend aux Bahamas sur un gerbe privé entouré de jolies personnes célèbres du porno, remplir une paquet de briques de prise, livrer pacager votre patron : face à un tel conduite, le «quelle regret ! » n’est très loin du «si seulement c’était moi…».
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